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Un atelier IHEST - RIST en trois séances d'une demi-journée, une petite vingtaine de personnes réparties en trois groupes. Objectif : Mieux comprendre les relations entre scientifiques et experts et décideur.
Membre de la délégation régionale IHEST SUD (depuis octobre 2023)
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Les 24 et 25 mai 2022, la presse française généraliste et notamment le quotidien français Le Monde relayait deux études portant sur la persistance « infinitésimale » de pesticides dans les fruits et légumes.
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Rapport d’atelier des auditeurs de la promotion Michel Serres, cycle national 2020-2021 sur le thème du transhumanisme, présenté devant les députés et les sénateurs de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques le 22 juillet 2021.
La question du transhumanisme est ontologique et polémique. Ceux, philosophes, activistes, scientifiques, artistes, entrepreneurs qui portent ou relaient plus ou moins ouvertement les idées de ce courant protéiforme accordent tous une confiance inébranlable aux promesses scientifiques et technologiques que génère la société contemporaine. Elle fait même dire aux plus radicaux d’entre eux que « la mort de la mort », c’est-à-dire l’immortalité, serait déjà envisageable !
Au moment même où les transitions numérique, écologique et démographique bouleversent nos sociétés, des technologies puissantes profilent notre futur. Face à des discours résolument technophiles, un débat public s’impose pour choisir la voie vers laquelle la société humaine évoluera. C’est une priorité d’exigence démocratique, une question de responsabilité collective.
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De 11 septembre 2019 au 17 juillet 2020, les deux élus nationaux ont sollicité 458 personnes, membres associatifs, représentants des collectivités, industriels, chercheurs afin de prendre la pollution plastique à bras-le-corps , un fléau de plus en plus difficile à maîtriser. Ils établissent un constat accablant de cette pollution en France et dans le monde. "Il est urgent d'agir", disent-ils, en avançant des recommandations. Les solutions seront l'affaire de tous, au-delà des frontières.
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« Affronter les transitions », une formation organisée par l’Institut des Hautes Etudes pour la Science et la Technologie (IHEST).
Chaque année, l’Institut des Hautes Etudes pour la Science et la Technologie (IHEST) propose un cycle de formation de neuf mois à une quarantaine de personnes venues d’horizon les plus variés ; des cadres d’entreprises ou d’indépendants disposant déjà d’expériences professionnelles confirmées.
Cette année, la thématique qui a motivé ma participation à ce cycle 2020/2021, de septembre dernier à juillet 2021, est celle d’affronter les transitions. Une thématique au cœur des enjeux sciences et société, des défis à relever. Durant ces neuf mois sont étudiées des trajectoires possibles capables de transformer le modèle économique et sociétal dominant (le néo-libéralisme mondialisé et financiarisation des économies) en un autre plus viable et responsable.
9 sessions sont proposées aux auditeurs, au rythme d’une chaque mois, autant de facettes de cette thématique complexe à décrypter. Elles se donnent pour ambition de placer les sciences au cœur des décisions que nous serions amenés à prendre dans notre vie professionnelle.
« Décider avec les sciences » est la devise de l’IHEST. Adopter une méthode rigoureuse afin de proposer des actions collectives, en toute clarté, en toute pédagogie, et surtout, en toute honnêteté. Et trouver les arguments pour agir, en prenant des décisions collectives, telles sont les ambitions de cette formation, qui cette année, est validée par une certification reconnue par la formation professionnelle.
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Inauguration de l'exposition l'Oiseau des mers et l'oiseau solaire au Futuroscope de Poitiers, février 2019
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Que veut dire « avoir 20 ans» au Brésil ? A l’heure de grandes manifestations internationales sportives prévues l’année prochaine puis en 2016, voici le portrait de neuf jeunes adultes. A quoi rêvent-ils, à quoi aspirent-ils, comment voient-ils leur avenir ? Ce sont des questions simples, universelles. Les réponses, elles, sont plus complexes, intimes. Reportage au plus près des réalités quotidiennes que ces jeunes vivent, entre espoir mais parfois angoisse face à l’avenir.
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Reportage à Biosphere 2 , deux pour évoquer la reprise en main par l’université de Tuscon de la première construction de cette « île » artificielle que fut Biosphere durant la fin de la décennie 80. Construite à l’initiative du magnat texan du pétrolel Edward Bass, elle défraya la chronique à deux reprises en isolant pendant plus de deux ans une équipe de 8 téméraires volontaires. Le but : se préparer aux voyages dans l’espace, à commencer par celui de Mars. L’aventure connut ses limites. Face aux frais de maintenance qu’elle demandait constamment, elle fut même condamnée à disparaître dans les années 2000. Avec l’appui des partenaires financiers locaux en partenariat avec l’université des sciences de la Terre de l’Arizona, elle est aujourd’hui devenu un laboratoire grandeur « nature », unique au monde, des sciences écologiques.